En Belgique, une agricultrice vend des graines de manière illégale

Depuis quelques décennies, les grands groupes industriels se sont octroyés le droit de disposer comme bon leur semble, des graines de la terre.

Seulement, c’est sans compter l’action de quelques résistants qui continuent de partager les biens communs de la terre au plus grand nombre. C’est notamment le cas de Catherine.

1. Une productrice dans l’illégalité

@mrmondialisation

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Catherine Andrianne est une productrice belge comme les autres, à la seule différence que cette dernière se retrouve dans l’illégalité. Et pourquoi ? Pour oser vendre des graines de semences via sa société semencière appelée « Semailles ». De quoi faire peur aux plus grands groupes industriels.

2. Une directive européenne en cause

@mrmondialisation

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Car en effet, à la fin des années 1990, de grandes institutions comme l’Union Européenne ont permis à n’importe qui de pouvoir breveté tout procédé de sélection de plantes. Une aberration qui est pourtant passée en 1998 via la directive 98/44/CE et qui a ravi les grandes multinationales comme Monsanto, Syngenta ou encore Bayer.

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